Le temps participe pleinement au processus créatif de ces pièces qui s’inscrit dans la durée. Il est littéralement incarné par le dessin lui-même, une ligne unique déroulée par Laurent Nicolas et qui se croise sur elle-même. Cette ligne du temps rythme l’ensemble de la pièce et permet de visualiser le cheminement de l’outil utilisé. Le temps, dans sa durée, est bel et bien là, indissociable d’un processus dont on ne peut percevoir ni le début ni la fin.