De manière plus spontanée, Laurent Nicolas s’approprie des éléments prélevés dans leur environnement selon une intervention minimale, basée sur le simple constat et l’appréciation de formes naturelles de pierres ou de bois.
Certaines pièces sont réalisées in situ, au regard du contexte, du poids, voire de la taille de l’élément sélectionné. La présence d’un socle de céramique associé à la pierre dont il valorise la singularité, la masse, la forme, n’est pas sans rappeler la poésie et l’universalité des suisekis japonais (pierres naturelles remarquables) et des jardins zen.